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Dons

Produire des spectacles de qualité, ça n'a pas de prix.

Mais un coût. Un coût toujours croissant, que, malgré votre fidélité incomparable et un soutien institutionnel inestimable, les ventes de billets et les subventions ne couvrent pas entièrement.

Chacune de nos saisons est plus riche que la précédente, nos créations plus ambitieuses, et nous nous e pouvons rien faire sans vous. Aussi parce que la perfection que nous visons sans cesse coûte cher, et que le cheap n'a pas sa place à la Compagnie Oghma.

Chaque don vous donnera droit à un reçu fiscal (et vous pourrez déduire 66% de la somme de vos impôts). Vous verrez également votre nom apparaître sur nos programmes — à moins que vous ne nous écriviez pour rester anonyme.

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Quelques petits exemples de ce à quoi peuvent servir vos dons.

  • 50 euros (soient 16€50 après réduction fiscale): Vous donnerez un texte tout frais à nos comédiens. Chaque nouveau spectacle donne lieu à une édition de texte, établi par nous-mêmes, d'après leurs sources originelles. Car beaucoup de choses ont changé dans les pratiques éditoriales depuis la création des textes que nous travaillons, et nous avons besoin de ce retour au source. Ça prend du temps, et puis il faut ensuite imprimer cet outil précieux!

  • 100 euros (soient 33€ après réduction fiscale): Les odeurs seront moins authentiques et tant mieux: on pourra confier nos costumes à la teinturière de notre village! Ces costumes sont un peu une seconde peau pendant une série de représentations, et la peau, ça se salit vite! Sans parler des réparations, parfois d'un soir à l'autre.

  • 300 euros (soient 99€ après réduction fiscale): On y verra plus clair pendant une semaine. La plupart de nos représentations sont éclairées à la bougie, qui confèrent à nos spectateurs leur atmosphère si particulière. Il faut environ 50 bougies par soir, et c'est ce que coûte une semaine d'éclairage.

  • 500 euros (soient 165€ après réduction fiscale): L'un d'entre nous sera moins nu sur scène. Un costume neuf, comme on les aime, demande des mois de travail. D'abord de recherche, sur des tableaux, dans des musées, puis sur les étoffes avec notre fidèle partenaire à Prague, Sartor, avant des semaines de retouches, d'ajustements, d'attention aux détails, aux passementeries, aux dentelles. Et une dentelle de mauvaise qualité, ça se voit tout de suite, même sur scène. Et il faut la changer plus souvent. 

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