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Fantaisies

de Tabarin

Charles Di Meglio, Antoine Gheerbrant et Marie-Françoise Bloch (basse de viole)

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Grimaces, raisonnements et espiègleries

Bateleurs installés sur la place Dauphine à Paris, récemment construite, Monsieur de Mondor et son valet vendaient des onguents et des remèdes. Des musiciens attiraient l’attention de la foule et la verve facétieuse du valet permettait de débiter la marchandise, au rythme de son humour décapant et absurde qui préfigure presque les Monty Python. 


Si Molière n’a jamais pu voir le duo comique sur scène (ils se retirent à la campagne en 1624 quand il a deux ans), il est certain qu’il connaît le code qu’ils créent, d’un valet espiègle très complice de son maître qui lui pardonne ses frasques, grâce à la large diffusion imprimée de leurs textes qui auront un grand succès. C’est ainsi qu’on retrouve chez Sganarelle ou Sosie des traits caractéristiques de Tabarin et la même propension à la discussion et au débat.

Nous continuons à explorer l'histoire de la Farce, pour tracer un trait d'union du Moyen-âge à Molière, avec un spectacle vif et espiègle, plein de la joyeuse humeur animée des foires. Un voyage dans le temps pour rappeler le Paris du Pont-Neuf, où l’on s’attroupait devant les bonimenteurs à la lueur des flambeaux.

La presse en parle:

Marie-Françoise Bloch accompagne merveilleusement deux autres artistes de haut niveau. Charles Di Meglio ravit par l'espièglerie de son rôle taillé comme un gant.

André Carret, Sud Ouest, 10 août 2020.

Tabarin, Mondor se méfie 3177 ok.jpg
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